Le discours d'Agen
Bonjour Agen !
Bonjour mes chers amis !
Bonjour la Nouvelle Aquitaine !
Quel plaisir, quel plaisir d’être de retour dans le Sud-Ouest !
Pour moi, Agen, depuis que je suis enfant, c’est le Rugby ! C’est cette grande équipe, des gaillards fiers et valeureux qui affrontent les meilleures équipes de la France entière !
Pour moi, Agen, c’est cette terre chaleureuse où il fait bon vivre et où la beauté des paysages n’a d’égal que la richesse de la gastronomie !
Agen, c’est l’hospitalité et la chaleur des Agenais !
Merci de m’accueillir ici chez vous
Mes chers amis, je suis heureux d’être avec vous aujourd’hui ! Et aujourd’hui, c’est un grand jour !
Nous sommes le 12 mars 2022. Dans un mois, quasiment jour pour jour, vous serez dans l’isoloir. Dans l’isoloir vous aurez rendez-vous avec le destin de la France, rendez-vous avec l’avenir de vos enfants, rendez-vous avec l’Histoire de notre pays. Dans l’isoloir, plusieurs bulletins seront posés devant vous. Mais en vérité, il n’y en aura que deux, le mien, et celui de tous les autres. Vous aurez le choix entre la France, telle que nous la connaissons, et un grand saut dans l’inconnu. Car c’est ce que les autres candidats vous proposent. Ils vous proposent un saut dans le vide. Ils vous proposent une France nouvelle, comme ils disent, plus nouvelle que française.
Ils vous proposent un « payez pour voir ». Ils ne vous proposent rien pour vous protéger des risques qui viennent…
Mes chers amis, je ne suis pas comme eux. Je ne suis pas un politicien professionnel, vous le savez. J’ai abandonné la vie que je menais pour rentrer dans cette campagne. J’ai accepté de prendre tous les risques, d’être harcelé par la presse people et par les antifas, de devoir vivre sous protection policière pour avoir commis le seul crime de vouloir vous défendre. Je l’ai fait par sens du devoir. Je l’ai fait par inquiétude pour nos enfants. Je l’ai fait parce que j’avais la certitude que les autres ne feraient pas tout ce que je vous promets de faire.
J’ai passé toute ma vie à tenter de cerner l’âme de notre pays, son histoire, ce qui faisait de notre peuple un peuple unique, admiré de tous les autres. Toute ma vie, j’ai lu, j’ai étudié, j’ai tenté d’expliquer, de transmettre à mon tour l’amour de la France que j’avais reçu. Et tout cela me sert aujourd’hui pour parler aux Français et leur dire ce que nous voulons pour la France.
Depuis des mois maintenant, je sillonne la France, je rencontre les Français, les Français me parlent, me racontent leurs craintes, leurs espoirs, leurs souffrances et leurs bonheurs. Je peux vous dire une chose : les Français ne sont pas heureux dans la France d’Emmanuel Macron. Je suis le seul candidat à cette élection à pouvoir dire que j’ai fait le tour de France. Car depuis septembre dernier, je suis sur les routes de France, à votre rencontre ! Et quel bonheur ! Quelle fierté ! Quelle responsabilité ! Quelle responsabilité devant l’espoir que ma candidature a suscité dans le pays.
Depuis des mois que je sillonne la France, j’ai entendu tant de témoignages, j’ai vu tant de choses, j’ai écouté tant de Français. Je crois avoir saisi le courant profond de notre pays, les grands enjeux vitaux pour notre avenir.
Je veux désormais parler à tous les Français. Il nous reste un mois. Mes chers amis, vous qui êtes présents dans cette salle, vous me soutenez depuis le début, ou depuis quelques semaines, peut-être êtes-vous parmi nous pour la première fois. Peut-être attendez-vous d’être convaincu. Vous êtes venu avec un ami, vous êtes venu avec vos parents. Vous savez que ce sera bientôt le jour du premier tour et vous voulez vous faire un avis.
Mes chers compatriotes de Métropole et d’outre-mer, vous êtes derrière l’écran de vos télévisions ou de vos ordinateurs et vous m’écoutez pour la première fois, ou alors vous êtes un fidèle qui ne rate jamais aucun de nos meetings. Vous êtes militant d’un autre parti et vous écoutez pour vous faire votre propre jugement, vous êtes journaliste et vous écoutez ce meeting pour écrire votre article.
Peu importe, mes chers amis, ce soir je veux vous parler à tous, parce que vous êtes tous Français, d’où que vous veniez, de la droite ou de la gauche, du centre, de l’abstention, des LR, du RN, de Debout la France, de la gauche, d’une salle de rédaction, de nulle part en politique. Parce que vous avez tous rendez-vous avec le destin de la France les 10 et 24 avril prochains. Mes chers compatriotes, vos étiquettes ne comptent plus : je veux parler à votre cœur de Français.
Aujourd’hui, je vais vous parler de mon projet, nous allons parler de fond. Je veux parler à chacun de vous, et je suis certain que nos mesures trouveront une résonance en chacun de vous. J’en suis sûr car ce programme n’a pas été bâti par un idéologue. Mes adversaires m’appellent idéologue parce que je suis cohérent. Pour eux, ne pas changer d’avis comme de chemise, c’est être idéologue. Pour eux, se tenir droit, ne pas tanguer au gré du vent, c’est être idéologue.
Oui, ils me traitent d’idéologue car ils confondent goût des idées et idéologie. Ils ont tellement peu d’idées, tellement peu de convictions, tellement peu de cohérence intellectuelle, qu’ils sont désarçonnés quand ils découvrent un adversaire politique qui n’est pas de leur monde.
En vérité, je suis tout le contraire d’un idéologue car la vision que je porte est justement fondée sur l’observation du réel, d’un réel sans concession, d’un réel sans dissimulation, d’un réel brut et parfois brutal, car c’est le vôtre, la réalité que vous vivez au jour le jour loin des plateaux télé et des palais de la république.
Aujourd’hui je veux vous livrer mon programme, pour la première fois en un bloc, et je l’ai publié aujourd’hui même en intégralité. Je veux vous montrer qu’avec nous demain sera mieux qu’aujourd’hui. Je veux vous dire qu’avec nous, la France restera la France. Je veux que vous sortiez de ce meeting en vous disant qu’avec nous, l’avenir de vos enfants sera beau, que votre avenir sera meilleur.
Car oui, je veux que votre avenir personnel soit meilleur. Protéger les Français, c’est aussi protéger leur dignité.
Je parle de dignité car trop de nos compatriotes, qui travaillent pourtant dur, comptent chaque euro tous les mois pour manger à leur faim, pour se loger, se chauffer et surtout pour se déplacer. Depuis plusieurs mois, le prix des carburants explose, l’essence coûte aujourd’hui 40% plus cher qu’au début de l’année, mais votre vie, elle, continue.
Vous n’avez pas arrêté de prendre votre voiture pour aller travailler le matin.
Vous n’avez pas arrêté d’aller voir votre grand-mère à la maison de retraite le week-end.
Vous n’avez pas arrêté de faire 40 km pour trouver un médecin et vous soigner.
Vous n’avez pas arrêté d’emmener vos enfants dans l’école de la ville la plus proche car celle de votre village a fermé.
Bref, vous n’avez pas arrêté de vivre et cela vous coûte de plus en plus cher !
Je ne peux me résoudre à vous voir, vous la France qui se lève tôt et travaille dur, être écrasée par ces prix et ce mépris. L’État vous matraque et vous assomme avec des taxes en tous genres alors que les délinquants des cités qui vivent du RSA se font tous les jours soigner et loger gratuitement, plus précisément avec VOS impôts, notamment ceux que vous payez quand vous faites le plein.
Ce n’est pas comme si vous aviez le choix. La semaine dernière une infirmière à domicile me disait qu’elle faisait parfois plus de 200 kilomètres par jour pour aller visiter des patients souvent âgés et dépendants qui ne peuvent rien faire sans son travail essentiel. Son plein de 50 litres lui coûte plus de 100€ et cela deux fois par semaine ! Quand vous touchez un peu plus de 2000€ net par mois, c’est 40% de votre salaire que vous dépensez… pour aller travailler ! Vous payez pour pouvoir travailler : c’est une folie !
Élu, j’augmenterai le salaire de nos infirmiers et aides-soignants à domicile de 10% pour leur permettre de vivre décemment de leur travail ! Je veux que ceux à qui nous devons tant puissent enfin exercer sereinement le métier qu’ils aiment tant !
Et pour tous nos compatriotes, mes chers amis, je sais que la guerre en Ukraine vous inquiète aussi pour les conséquences qu’elle peut avoir sur votre vie. Les prix sont en train d’exploser et en particulier les prix de l’essence. Or, pour vous, la voiture n’est pas un choix, la voiture n’est pas un hobby, vous ne pouvez pas aller au travail en trottinette ! Je veux vous dire que dès mon élection, je bloquerai immédiatement le prix de l’essence à 1 euro 80 le litre pour que vous ne soyez plus pris à la gorge et que vous puissiez respirer. Les politiciens me reprochent cette position. Elle me paraît être la moindre des choses ! 1 euro 80, c’est déjà beaucoup trop ! Dans quel monde vivent-ils ? Le temps que la guerre cesse, le rôle de l’Etat est de protéger les Français de ses conséquences. Alors oui, je bloquerai le prix de l’essence le temps que survienne enfin un cessez-le-feu en Ukraine.
Pensons à tous nos compatriotes qui ont fait le choix de la tranquillité en dehors des grandes villes, mais qui doivent aller travailler en ville, parce qu’il n’y a malheureusement plus assez de travail dans nos petites communes. Tous les matins, ils prennent leur voiture pour aller travailler et que ce soit dans la logistique, l’informatique, dans l’artisanat, dans la vente ou encore dans la restauration, ils font des dizaines de kilomètres. Ils ont parfois choisi de vivre en dehors des grandes villes, mais parfois, ils n’ont pas eu le choix : habiter dans le cœur des métropoles était devenu au-dessus de leurs moyens, et vivre dans les banlieues avoisinantes, devenait parfois impossible, à cause de la violence permanente, au milieu de la pression d’un islam conquérant, aux côtés des caïds de la drogue qui vous demandent vos papiers pour rentrer dans votre propre immeuble. Alors, ils sont partis loin, toujours plus loin, et en payent toujours plus cher les conséquences.
Pour nos salariés et pour nos fonctionnaires qui sont des millions à prendre chaque jour leur voiture pour aller travailler, je rendrai obligatoire le remboursement de la moitié des frais de carburant par leur employeur ! C’est déjà le cas dans les grandes villes, où les entreprises remboursent la moitié de l’abonnement de transport en commun. Pourquoi ne serait-ce pas le cas pour ceux qui sont obligés de prendre leur voiture ? Je veux récompenser le travail, voilà ce qu’est la justice pour moi !
La justice mes chers amis, c’est également arrêter de considérer tout automobiliste comme un délinquant en puissance. Non, vous n’êtes pas des délinquants parce que vous prenez un volant ! C’est pourtant ce que croient les fonctionnaires ! Avec moi je vous le redis : l’Etat deviendra enfin bienveillant avec les honnêtes gens et sévères avec les voyous. C’est pourquoi, je rétablirai la limitation de vitesse à 90 km sur les routes nationales et départementales ! Oui, c’est cette mesure injuste qui a été l’une des gouttes de trop avant le début des Gilets Jaunes. Mettons fin à ces réglementations parisiennes absurdes ! Je rétablirai les 50 km/h en ville. Les socialistes ont rendu leurs villes impraticables, il faut arrêter cela !
Il n’est pas normal que les amendes de stationnement puissent aller jusqu’à 75€ dans certaines villes, c’est 6% d’un SMIC. Ce Racket est inadmissible ! J’y mettrai en plafonnant le montant des amendes de stationnement à 17€ sur tout le territoire.
Et surtout, mes chers amis, je suis le seul à le proposer parce que les autres n’en ont pas le courage : j’en finirai avec le racket que constitue le permis à points ! J’en ai assez que vous deviez payer des stages qui vous coûtent les yeux de la tête pour récupérer les points perdus pour des infractions minimes. Évidemment, nous retirerons leur permis aux chauffards, à ceux qui boivent au volant et à ceux qui se droguent ! Mais cela existait avant la création du permis à points et nous serons d’une sévérité sans faille avec eux. Mais ce dont je ne veux plus, c’est que vous, les conducteurs raisonnables, vous les travailleurs, vous perdiez votre permis pour avoir dépassé la vitesse autorisée de 5 kilomètres/heure. Il est logique d’avoir un système de sanction pour les infractions mineures, mais il n’est pas normal de risquer de perdre votre emploi pour cela. Que nos fonctionnaires parisiens se rassurent : les Français ne deviendront pas tout à coup des délinquants : les amendes resteront dissuasives et personne ne veut payer d’amende ! D’ailleurs, regardez les pays qui n’ont pas de permis à points, ils n’ont pas plus d’accidents que nous !
Avec moi, l’Etat ne vous racketerra plus !
Avec moi, pendant cette crise, vous ne paierez jamais plus d’1 euro 80 votre litre d’essence, et c’est déjà énorme !
Avec moi, vous dépenserez 40€ de moins par mois pour aller au travail en voiture.
Avec moi, vous pourrez enfin bien vivre de votre travail et vous enrichir car vous le méritez !
Que les Français vivent bien de leur travail ! Voilà le cœur de ma philosophie économique ! Et croyez-moi, dans notre pays c’est déjà beaucoup demander… Car chez nous, le travail paie, quand l’Etat veut bien vous laisser des miettes !
Car aujourd’hui en France, même quand on a trimé toute la semaine, on doit quand même verser le fruit de son travail à un Etat obèse qui dépense notre argent sans compter !
Car en France, que l’on soit riches, pauvres ou que l’on appartienne à la classe moyenne, nous sommes tous les plus taxés au monde. Il faut vous en rendre compte. Chaque jour, vous payez la TVA sur tous vos achats, les taxes faramineuses sur votre plein d’essence, les charges sur votre salaire, vos impôts locaux, votre redevance télé. Emmanuel Macron vous avait promis de baisser les impôts, mais l’avez-vous senti ? Chaque jour, vous financez un Etat dont les choix vous échappent, alors que vous avez l’impression que cet Etat vous donne de moins en moins…
Alors qu’est-ce que votre pouvoir d’achat ? Votre pouvoir d’achat c’est l’argent qui vous reste quand vous avez fini de donner à l’Etat tout ce qu’il vous demande. Quand vous avez fini de payer la facture qu’il vous impose. A la fin, il vous reste peu de choses. Pourquoi ? Parce que les besoins de l’Etat sont chaque année plus lourds, pour financer des dépenses folles ! Oui, c’est le grand non-dit de cette élection : l’Etat prend chaque mois dans votre poche, sur votre compte en banque, le fruit de votre travail, pour le dilapider sans compter.
Je vais vous donner quelques exemples qu’il faudrait se répéter tous les jours, car personne ne fait rien pour y mettre fin :
- Savez-vous qu’il y a 2,4 millions de bénéficiaires fantômes de l’assurance maladie ?
- Savez-vous par exemple que deux couples de Roumains ont réussi à déclarer 1 200 grossesses ?
- Savez-vous que Macron vient de prévoir que les détenus incarcérés dans nos prisons allaient toucher l’indemnité inflation de 100€ ?
- Plus grave encore, savez-vous que 20% des djihadistes français partis en Syrie et en Irak continuaient à percevoir des aides sociales ?
- Savez-vous que Salim Benghalem, l’un des cerveaux présumés des attentats de l’Hypercasher et de Charlie Hebdo a continué ́ à bénéficier du versement d’allocations familiales pendant des mois après son départ en Syrie pour un montant supérieur à 12 000€ ?
- Savez-vous qu’Ismaël Mostefai, l’un des tueurs du Bataclan, percevait 290 € par mois alors qu’il commettait des actes barbares de décapitation ?
Je pourrais continuer cette liste pendant des heures tant notre système est à bout de souffle ! Chaque année, ce sont jusqu’à 45 milliards d’euros que l’Etat perd dans la fraude sociale. Vous voyez ce que devient l’argent que l’Etat vous prend à la fin du mois avec vos cotisations sociales ? Je mènerai une lutte implacable contre les fraudeurs et je mettrai fin à des décennies de laxisme. Pour cela, je créerai, tout de suite après mon élection, une brigade anti-fraude chargée de traquer tous ceux qui abusent de notre générosité avec pour objectif de récupérer 10 milliards d’euros par an. Je mettrai en place des contrôles systématiques des allocataires par les organismes sociaux et je suspendrai les aides sociales à tout fraudeur récidiviste. La solidarité implique la justice sinon la solidarité s’effondre !
Nous devons mettre fin à cette folie pour arrêter enfin de prendre votre argent.
Alors mes chers amis, je vous en prie, à chaque fois que vous entendrez un candidat vous proposer des cadeaux, des chèques, des virements qui tombent du ciel, dites-vous qu’il vous ment ! Il vous parle d’un argent magique qu’il ne sait pas créer.
Pourquoi ? Parce que c’est d’argent public qu’il vous parle. Et parce que l’argent public n’existe pas. L’argent public, c’est votre argent. Cet argent avec lequel ils veulent vous faire tous ces cadeaux, ils vont d’abord le prendre dans vos poches ! Toutes ces belles promesses pour demain seront financées avec l’argent que vous avez aujourd’hui sur votre compte en banque et que vous avez durement gagné !
Moi, ce que je vous propose, ce n’est pas de l’argent public, ce n’est pas de l’argent magique, ce n’est pas de l’argent théorique. Ce que je vous propose dans mon programme, c’est que vous puissiez bien vivre du fruit de votre travail, du fruit de vos efforts. ! Je veux que vous puissiez vous enrichir grâce à votre mérite ! Je vous propose de faire que votre travail paye mieux car j’obligerai l’Etat à vous LAISSER le fruit de votre travail ! C’est vous qui le méritez et personne d’autre !
Je vous propose d’agir par 3 moyens :
- D’abord, je veux que les travailleurs méritants puissent toucher des primes très importantes. Pour cela, le patron pourra verser une prime « Zéro charges », pour les salariés méritants. C’est-à-dire une prime sans aucune charge ni salariale ni patronale, ! Cette prime pourra représenter chaque année jusqu’à trois mois de salaire net. Aujourd’hui, les employeurs sont réticents à verser des primes car pour 5000 euros qu’ils veulent vous donner, c’est 4000 euros qu’ils doivent verser en plus à l’Urssaf. Mais imaginez demain : si vous vous investissez dans votre entreprise, si vous travaillez bien, vous pourrez facilement toucher un 13ème mois, un 14ème mois, un 15ème mois ! Les salariés et les patrons me le disent : cela changerait leur vie ! Je veux que notre pays redonne enfin sa vraie valeur au travail et cesse de glorifier l’assistanat ! L’assistanat, c’est l’injustice. L’assistanat pèse sur nos finances et attire le monde entier sur notre sol. Vous savez tous ce qui les attire en France plutôt que chez nos voisins : malheureusement ce n’est pas le dynamisme de notre marché du travail.
- Ensuite, mes chers amis, je veux que la réussite soit encouragée dans notre pays. Je veux que lorsqu’on travaille dur et qu’on contribue à créer de la richesse, on puisse en profiter. Je veux que vous puissiez bénéficier des succès de vos entreprises : quand l’entreprise fait des bénéfices, c’est aussi vous, les travailleurs qui y avez contribué. Alors il est normal que vous en profitiez ! Cela s’appelle la participation. Dès mon arrivée au pouvoir je vous permettrai de débloquer immédiatement et sans impôts vos primes de participation pour que vous soyez libre d’en profiter !
- Enfin je veux que l’Etat arrête de tout prendre à ceux qui ont les salaires les plus faibles ! C’est pourquoi je baisserai la CSG pour tous les travailleurs gagnant de moins de 2000 euros nets. C’est donc la moitié des travailleurs de France, du privé comme du public, qui est concernée par cette mesure ! Grâce à la baisse de la CSG, chaque travailleur bénéficiera d’une somme allant jusqu’à 105 euros nets de plus par mois ! C’est un véritable 13ème mois à la fin de l’année !
Cet argent que je vais vous rendre vous a été confisqué par un modèle social ouvert au monde entier à cause de politiciens qui se soucient davantage des étrangers que des citoyens français ! Ils taxent toujours plus les nôtres pour donner aux autres. Je financerai ce renouveau de votre pouvoir d’achat en supprimant les aides sociales aux étrangers, celles pour lesquelles ils ne contribuent pas. Nous sommes le pays le plus généreux au monde avec des étrangers qui n’ont pas cotisé le moindre euro. Il faut que cela cesse ! Nous sommes un peuple généreux, oui, mais quelle injustice de prendre autant à ceux qui n’ont déjà quasiment rien pour donner à ceux qui viennent d’arriver !
Nous refusons le grand déclassement des Français et nous refusons le grand déclassement de la France. La France d’Emmanuel Macron, c’est un déficit abyssal de notre balance commerciale, c’est la mondialisation heureuse qui appauvrit les Français, c’est le libre-échange sans limite qui étrangle nos agriculteurs. La France d’Emmanuel Macron, c’est la France qui manque de masques et de respirateurs pendant le Covid. Heureusement que le génie français sait vivre sans l’Etat, comme ici, à Agen avec un laboratoire pharmaceutique qui produit les médicaments du quotidien dont nous avons manqué pendant la crise sanitaire. Ils sont un exemple à suivre et je les en félicite.
Pour que de tels exemples se multiplient, pour que nos entreprises reviennent et pour que celles qui sont encore sur notre territoire y restent, il faut arrêter de prélever des impôts avant le moindre euro de bénéfice ! Cela n’a aucun sens ! Je baisserai donc massivement les impôts de production de 30 milliards d’euros afin que nos entreprises se battent à armes égales avec leurs concurrents étrangers.
Je suis le candidat qui propose les baisses d’impôts les plus massives ! Eh oui. Et je demande à tous les fact-checkeurs de fact-checker : personne ne propose de telles baisses d’impôts et de charges. Mon programme est de loin le plus ambitieux pour vous rendre à vous, les travailleurs, le fruit de vos efforts. Je baisse vos impôts parce que je considère que personne ne sait mieux que vous comment dépenser votre argent !
Moi, je dis non au grand déclassement et je dis non aussi au grand remplacement ! Non, ce n’est pas une théorie complotiste, ce n’est pas une théorie du tout : c’est la réalité quotidienne que vous vivez.
Certains cherchent à la nier, certains cherchent à l'amoindrir. Certains ne veulent pas en débattre, car tout le monde sait qu’une majorité de Français est d’accord avec mes constats et avec mes solutions. Je ne les laisserai pas ignorer les sujets vitaux pour la France : L’insécurité et l’immigration ! C’est ma responsabilité d’évoquer ces deux sujets qui troublent vos vies au quotidien, qui vous inquiètent pour l’avenir de vos enfants. Oui, j’ai le sens des responsabilités devant le pays que nous allons léguer à nos enfants. Oui, j’ai le devoir de penser aux conséquences du laxisme de nos politiciens, qui ont abandonné nos frontières. Nous ne devons jamais oublier les actes terroristes islamiques qui depuis 2012 ont fait 272 victimes sur le sol Français dont certaines, tout près de chez vous, il y a exactement 10 ans.
En plus de ces tragédies qui nous ont brisé le cœur, il y a votre sécurité du quotidien. Il ne se passe pas un jour, pas une heure sans que j’y pense. Il faut prendre toute la mesure du drame quotidien que vit une immense majorité de nos compatriotes. Tant de familles qui sont touchées de près ou de loin par l’ensauvagement de notre société.
- Il y a dans notre pays, 120 agressions au couteau par jour. En ce moment même, ce pourrait être votre fils ou votre fille qui pour un regard de travers risquerait sa vie face à la racaille.
- Nos policiers subissent chaque jour 85 agressions qui les envoient parfois à l’hôpital pour des blessures graves.
- Ce matin, même, un policier a été poignardé à Marseille. Je lui témoigne tout mon soutien. Je ne peux m’empêcher d’être révolté face à une telle violence envers nos forces de l’ordre.
Pour mettre fin à cette violence sur nos forces de l’ordre, je mettrai en place la présomption de légitime défense pour nos policiers et nos gendarmes, car il n’est pas normal qu’un policier qui a souhaité se défendre face à des voyous se voie relevé de ses fonctions et soit considéré comme un criminel. Comment voulez-vous que les forces de l'ordre censées nous protéger puissent faire leur métier sans aucun soutien des Ministres de L'intérieur successifs ! Et puis, il y a la justice, et nos juges, qui pour la plupart sont prêts à trouver des excuses aux coupables et aux voyous. Nous ne voulons plus des circonstances atténuantes, des remises de peines, des libérations anticipées, pour ceux qui récidivent, pour ceux qui volent et pour ceux qui tuent.
Nous ne voulons plus des excuses de minorités pour le jeune Djibril qui a violé la petite Shaina qui avait 13 ans au moment des faits. Djibril et ses deux complices ont été condamnés à moins d’un an avec sursis car ils étaient mineurs au moment des faits. Qui trouve cela normal aujourd'hui dans notre pays ?
J’abaisserai la majorité pénale à 16 ans pour que ces criminels soient punis comme des adultes car un jeune de 16 ans qui agresse comme un adulte doit être puni comme un adulte.
Un autre exemple, mes amis, de cette impunité. Il y a deux semaines, non loin d’ici à Bordeaux, un prêtre a été agressé par un homme “connu des services de police” comme ils disent, ce qui signifie, à chaque fois que l’on sait et qu’on ne fait rien. Cet homme a craché au visage du prêtre de la Basilique Saint Michel, en pleine bénédiction du parvis. Cet acte inadmissible aurait dû être fermement condamné. Vous êtes d’accord ? La justice en a fait un exemple, ce délinquant qui était muni d’un couteau et qui a agressé un homme d'Église a écopé d’un… stage de citoyenneté.
C’est une honte, mes amis !
Je ne veux plus de ces agressions par des clandestins qui auraient dû être expulsés. Je propose une chose simple : je veux que les visas accordés aux ressortissants des pays qui ne reprennent généralement pas leurs clandestins soient conditionnés au versement d’une caution de 10 000 euros. C’est-à-dire qu’en arrivant sur notre sol, par exemple grâce à un visa de touriste, ces ressortissants déposent une caution qu’ils ne récupéreront que s’ils quittent notre territoire. Cela les dissuadera de rester en France ! Et si jamais cela ne les dissuade pas, cela nous permettra de financer leur expulsion ! Les Etats-Unis ont déjà un système similaire, avec une caution allant de 5000 à 15 000 dollars pour les citoyens de 15 pays d'Afrique et les résultats sont là ! Ceux qui doivent repartir repartent !
Oui, je veux un Etat qui cesse enfin d’être si cruel avec les faibles alors qu’il est si faible avec la racaille !
Je veux un Etat qui cesse de vous étouffer sous la paperasse, sous les bordereaux, sous les formulaires et sous les normes. Quand vous êtes commerçant, je veux que vous puissiez donner votre temps à votre boutique ! Quand vous êtes éleveur, je veux que vous puissiez passer votre temps à vous occuper de vos bêtes ! Quand vous êtes chef d'entreprise, je veux que vous passiez du temps avec vos clients !
Et comment, me demandez-vous, comment vous libérer enfin de cet empilement de papiers ? Comment vous faire respirer au milieu de cet océan de normes ?
Oui, c’est un travail de titan que nous accomplirons ! Pas un seul jour, lorsque je serai au pouvoir, je ne laisserai de répit à l’administration sur ce sujet. Le devoir des fonctionnaires, c’est de servir les Français qui les rémunèrent, pas de les asservir.
Une fois que l’Etat arrêtera de vous emmerder, je vais vous dire où je veux que l’Etat passe tout ce temps qu’il aura gagné ! Je vais vous dire qui l’Etat doit contrôler. Tous les caïds de la drogue par exemple, car pour eux pas de TVA, pas d'impôts sur les sociétés, pas de contrôles Ursaff. Nous allons faire en sorte que l’Etat se concentre enfin sur ceux qui vivent en dehors de toutes les règles !
Nous voulons rétablir l’ordre et la discipline ! Nous voulons reconquérir les villes que nous avons perdues ! Et la reconquête de notre pays, de notre avenir, passera aussi par nos enfants et donc par l’école. Je veux que les Français aient la tête haute, qu’ils retrouvent leur fierté d’appartenir à la France. Comme vous, quand j’étais enfant, mes parents ont mis tous leurs espoirs dans l’école de la république. Je veux que l’école refasse des Français ! Oui, c’est possible !
Ma vision pour l'instruction publique est simple, je veux le progrès social, je veux l'excellence pour tous, la sélection par le travail et par le mérite qui permet à tous les élèves, quel que soit leur milieu social et particulièrement les plus modestes de briller par leur intelligence et par leur travail.
Et pour que nos enfants puissent étudier sereinement, il leur faut un cadre propice. Je veux une nation qui respecte et protège la famille. Pour protéger nos familles et assurer le renouvellement des générations j’instaurerai l’universalité des allocations familiales, qui ont été injustement retirées aux classes moyennes par François Hollande et je doublerai le quotient familial !
Se battre pour la famille, c’est aussi se battre pour les mères et pour toutes les femmes, pour leur sécurité et pour leur liberté de choix. Je veux que les femmes puissent exercer le métier qu’elles veulent, qu’elles s’habillent comme elles le veulent, qu’elles puissent dire ce qu’elles veulent, qu’elles puissent fonder une famille sans craindre pour leur carrière et avoir une carrière sans craindre pour leur famille.
Voilà la France que nous voulons préserver ! Voilà la France que nous voulons retrouver ! La France de la prospérité, la France de la sécurité, la France qui aime la famille et qui laisse les femmes libres ! Nous voulons protéger la France et sa culture si brillante.
Car oui, nous pouvons être fiers de ce que nous sommes. Le monde entier est ébloui par nos grands auteurs, nos acteurs, nos peintres, nos sculpteurs, nos bâtisseurs. Qui ne rêverait pas d’un tel héritage ! C’est une richesse inestimable que nous devons faire vivre et protéger face à tous ceux qui rêvent de transformer l’Élysée en boîte de nuit, les églises en salle de concert et nos châteaux en musées d’art contemporain.
Nous disposons d’un patrimoine naturel lui aussi exceptionnel. Vous qui vivez au quotidien au milieu des paysages magnifiques de la Nouvelle-Aquitaine, vous savez combien ils contribuent à votre joie quotidienne. Pour que la France reste la France, il faut que nous arrêtions de défigurer nos paysages et de maltraiter notre environnement. À mon arrivée à l’Elysée, j’arrêterai donc immédiatement tous les projets de construction d’éoliennes que ce soit sur terre ou en mer !
Pour renouer avec la nature, il faut rompre avec cette bétonisation sauvage qui saccage nos espaces naturels. J’interdirai la construction de nouvelles zones commerciales à l’entrée de villes pour limiter au maximum l’artificialisation des sols et favoriser l’artisanat et l’économie locale des petits commerces.
Pour notre France rurale, je crois au développement des circuits courts. Nos agriculteurs subissent aujourd’hui une concurrence déloyale par les pays du monde entier qui exportent massivement depuis l’autre bout de la planète des denrées produites sans aucune des normes qu’ils sont, eux, contraints de respecter. Nos écologistes de gauche n’en parlent jamais : ce transport crée une pollution colossale et la qualité des produits vendus est indigne de ce que je souhaite pour votre alimentation et votre santé.
Je mettrai fin à l’importation de ces produits et ne négocierai plus aucun traité de libre-échange sur l’agriculture. Je veux que nos agriculteurs ne soient plus pris à la gorge par des prix toujours plus bas qui les poussent parfois à vendre à perte. Comment peut-on accepter qu’un éleveur qui se lève tous les matins à 5h n’ait plus un centime le 15 du mois ? C’est un crève-cœur pour nous de voir leur production ainsi bradée à des centrales d’achats gigantesques, qui négocient toujours plus pour ne rien laisser à ceux qui produisent.
Enfin, comment parler de l’abandon de nos campagnes sans parler des déserts médicaux. Je trouve révoltant, que dans un pays qui prétendait avoir le meilleur système de santé du monde, avec des dépenses qui se chiffrent en centaines de milliards dans la santé, nos concitoyens doivent faire des dizaines de kilomètres pour trouver un médecin. Une dame me racontait l’autre jour qu’elle avait dû faire plus de 60 km pour faire une simple IRM. Quand est-ce que ces injustices vont-elles enfin cesser ? Dès mon élection, j’embaucherai 1000 médecins salariés pour qu’ils prennent leur poste en urgence dans les départements qui en manquent.
La crise sanitaire a montré combien notre système de santé était défaillant. L’hôpital public s’effondre : nos personnels sont sous-payés, leurs horaires sont infernaux, le manque d’effectifs et de matériel est criant ; nos soignants sont à bout de souffle et je les comprends.
Comme vous, je les ai applaudis au plus fort de la crise, comme vous, j’ai cru que le gouvernement allait prendre la mesure de la difficulté de leurs conditions de travail mais rien n’y a fait. La Macronie n’a eu de cesse de supprimer des lits et de faire preuve de mépris envers ceux qui nous sauvaient. La santé des Français n’est pas une variable d’ajustement. Je n’accepte pas que le gouvernement sabote l'hôpital par des calculs technocratiques qui ignorent tout de la réalité de nos médecins, de nos soignants, de nos infirmiers.
Il faut faire de la santé des Français une priorité. Pour cela, je propose d’embaucher 40 000 personnels hospitaliers sur tout le territoire avec un vaste plan d’investissement pour enfin redonner de l’air à nos soignants ! Et je réintegrerai au plus vite les médecins et les soignants qui ont été chassés de l’hôpital parce qu’ils refusaient de se faire vacciner. Nous avons besoin d’eux !
Mes chers amis, l’heure est au sursaut, nous ne pouvons pas laisser la France s’enfoncer pendant 5 années de plus, il en va de notre survie. Depuis 2017, Emmanuel Macron a tout fait pour que la France ne soit plus la France !
La défiguration de nos paysages, c’est lui !
La colère des gilets jaunes, c’est lui !
Le carburant qui explose, c’est lui !
Notre système de santé aux abois, c’est lui !
Les Françaises qui ont peur de sortir le soir, c’est lui !
L’école qui s’effondre c’est lui !
Nos entreprises qui délocalisent, c’est lui !
La fraude sociale incontrôlée, c’est lui !
La fin de la méritocratie, c’est lui !
Le grand remplacement, c’est lui !
Emmanuel Macron se passerait bien de cette élection. Il aimerait l’enjamber. Mais comment croire une seule seconde qu’Emmanuel Macron puisse être réélu avec un tel bilan ?
Ne vous laissez pas influencer par les journalistes, par les médias, par tous ceux qui veulent vous imposer 5 ans de plus avec Emmanuel Macron.
Peuple de France, j’ai besoin de vous ! Il nous reste 28 jours.
28 jours pour faire connaître notre projet
28 jours pour restaurer le pouvoir d’achat
28 jours pour la défense de nos frontières
28 jours pour le retour de la sécurité
28 jours pour la reconquête de notre souveraineté
28 jours pour gagner
28 jours pour que la France reste la France
Alors, mes chers compatriotes, puisqu’il ne nous reste que 28 petits jours, je vais vous réitérer mon appel lancé à Toulon le week-end dernier : Je vous invite tous à venir à Paris, place du Trocadéro, le 27 mars pour un moment inoubliable qui restera dans l’Histoire comme celui du réveil d’un peuple qui rencontre son destin ! Comme celui du peuple qui n’a pas peur dans l’isoloir ! Qui ne croit pas ce que les médias aux ordres lui racontent !
Nous montrerons au monde entier que nous sommes un peuple fier et libre.
Serez-vous présents, les Agenais ?
Oui, vous serez présents, parce que la France qui se réveille, c’est nous !
La France qui croit en sa puissance, c’est nous !
La France qui s’élève contre le grand remplacement, c’est nous !
La France des idées et de la vision, c’est nous !
La France indépendante et souveraine, c’est nous !
La France qui reste la France, c’est nous !
La Reconquête, c’est nous !
Vive la démocratie, vive la nation, vive le peuple qui se lève, vive la liberté et la souveraineté, vive la Reconquête, vive la République et, surtout, surtout, vive la France !