Le discours du meeting anniversaire Reconquête au Palais des Sports
Merci !
Merci mes amis !
Une fois de plus vous avez répondu à l'appel !
Une fois encore vous êtes là pour démontrer notre vitalité, notre énergie, notre enthousiasme, mais surtout, la pertinence de notre combat.
Je vais vous faire une confidence : comme ça fait plaisir de vous retrouver !
Comme votre engagement est beau à voir !
Un ami m’a dit tout à l’heure : « tu ne t’en rends plus vraiment compte mais voir ainsi 4000 Français réunis, un dimanche de coupe du monde, en pleine grève SNCF, à 6 degrés dehors et hors campagne électorale, je ne sais pas qui d’autre que vous peut faire ça ! ». Alors merci à vous !
A ce sujet, ne vous en faites pas mes amis, je saurais m’arrêter à temps ! Il n’est pas question, moi non plus, que je rate l’équipe de France ! Et là, je sens Guillaume et Stéphane Ravier soulagés !
Plus sérieusement, merci à tous ! Je sais que certains ont fait le déplacement des quatre coins du pays. Certains sont même venus de Corse et des Outre-Mer ! Merci à eux !
Je voudrais saluer, en votre nom, tous ceux qui nous regardent en ce moment, à la télévision, sur notre chaîne YouTube et qui sont autant de milliers – de centaines de milliers – de voix et de cœurs qui s'unissent aux vôtres !
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Je voudrais remercier tous les élus qui m'entourent sur scène. Maires, conseillers municipaux, conseillers régionaux, parlementaires : ils sont dans leurs territoires et dans leurs assemblées les voix de la Reconquête, vos voix.
Tout comme nos trois talentueux vice-présidents – Marion Maréchal, Guillaume Peltier et Nicolas Bay : oui vous pouvez les applaudir ! Je veux leur dire merci pour ce qu’ils font tous les jours à mes côtés, avec Sarah et Stanislas : merci pour votre travail, merci pour votre bonne humeur, merci pour votre engagement quotidien.
Merci à nos alliés ici présents, merci à ma très chère Laurence Trochu pour son engagement, merci à Bruno North, et à Paul-Marie qui représente aujourd’hui VIA !
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Nous n'existions pas il y a un an.
Nous sommes nés il y a un an, jour pour jour, à Villepinte !
Un an seulement, et pourtant, j’ai l’impression d’avoir passé des années à vos côtés !
Un an seulement, et que d’aventures vécues, que de chemin parcouru !
Nous avons connu des émotions indescriptibles et des déceptions aussi, mais on le sait désormais : quand on dit le vrai, quand on agit pour le bien, on se relève toujours !
Dans ma vie j’ai pris des coups, j’ai subi des procès, j’ai connu la calomnie 24h sur 24, sur tous les plateaux TV, j’ai connu les menaces de mort, la protection policière, j’ai su ce qu’être renvoyé pour ses idées voulait dire, une fois, deux fois, trois fois.
Bien sûr, cela fait douter, bien sûr, on traverse des périodes d’interrogations, mais je vous le répète mes chers amis : quand on dit le vrai, quand on agit pour le bien, on se relève toujours ! Et c’est pour cela que vous êtes là !
Nous nous sommes lancés dans une aventure que tous disaient impossible.
Un journaliste en politique ! Un intello, un historien, pire : un polémiste ! Un homme qui venait concurrencer des partis installés depuis 50 ans ! Un nouveau parti sorti de terre en quelques jours avec des militants qui pour la plupart n’avait jamais fait ni cru en la politique auparavant ! C’était David contre Goliath !
Et pourtant, nous nous sommes levés. Et pourtant, vous m’avez suivi ! Et pourtant, notre message est passé, ET COMMENT !
Qui ignore aujourd’hui ce qu’est le grand remplacement ? Combien d’entre vous sont depuis cette campagne, et pour la vie, les ambassadeurs d’un combat qui nous dépasse tous ? Combien de flammes avons-nous allumées dans le cœur des Français ? Elles se comptent par millions ! Y compris, croyez-moi, chez les gens qui pour une raison ont pour une autre n’ont finalement pas voté pour moi.
Mes chers amis, vous et moi, nous avons dit une vérité à la France qu’elle n’est pas prête d’oublier !
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Mes chers amis, en juin, certains nous demandaient comment nous allions faire pour exister ?
Pour certains, derrière leur question, il fallait souvent entendre une envie pressante de nous voir disparaître...
Et depuis ? Depuis, nous les avons un peu déçus…
Vous l'avez vu : Reconquête a été sur tous les fronts !
Notre credo s’impose jour après jour : IDEES, ACTIONS, ELECTIONS.
L’un ne va pas sans l’autre ! Je veux que nous menions les trois de fronts ! Si l’on ne se soucie que des idées, on devient un pur mouvement d’intellectuels. Et rassurez-vous, je n’ai pas quitté ma position pour refaire la même chose !
Mais si on ne se soucie PAS des idées, on devient comme les autres, des ambitieux sans convictions, à la seule recherche de la place, du poste, du mandat, prêts à toutes les habiletés tactiques pour parvenir.
Nous ne serons jamais comme eux ! C’est aussi la raison pour laquelle tous les autres ne mènent aucune action entre deux élections : pour nous la politique, ce n’est pas un jeu qui redémarre tous les 5 ans ! Pour nous, la politique, c’est tous les jours !
Tous les jours il y a des luttes à mener, tous les jours il y a des services à rendre à nos compatriotes, des scandales à mettre en lumière, des catastrophes à empêcher ! Et les élus à mes côtés le savent aussi bien que nos militants !
Ces actions sont non seulement nécessaires pour la France mais utiles pour notre mouvement : utiles pour vous faire connaitre, utiles pour vous implanter, utiles pour les prochaines élections !
A Callac on se souviendra que c’est Reconquête qui a mis en lumière le scandale de la répartition des migrants et que ce sont nos militants qui sont tous les jours aux côtés des habitants de ce village breton pour dire NON à la submersion !
Aux Sables d'Olonne, on se souviendra que c’est encore vous qui êtes là pour protéger notre héritage chrétien lorsque les juges décident de déboulonner la statue de Saint-Michel !
A Château-Chinon, on se souviendra que c’est Reconquête qui a empêché la venue d’un Frère musulman quand la mairie fermait les yeux !
Je vous le disais lors de notre université d'été : Reconquête est une boussole politique : là où beaucoup hésitent, nous indiquons la direction sans hésitation.
Eh bien, depuis nous n'avons pas manqué à cette promesse !
Nous avons imposé nos mots.
Nous avons refusé la banalisation, l'invisibilisation, des crimes ; nous avons affirmé que la majorité des prétendus « faits divers » sont en réalité des francocides !
Nous avons lancé le réseau de Parents Vigilants pour protéger nos enfants. Et je suis fier de vous pour le succès que cette initiative connait ! Des milliers de témoignages nous sont parvenus en quelques semaines seulement !
Encore cette semaine, nous avons mis en lumière un scandale : imaginez-vous, une professeur de philosophie, qui écrit à ses élèves pour leur imposer une sortie scolaire auprès des migrants à Calais ! Une enseignante qui va jusqu’à leur demander de collecter des vêtements pour les donner aux migrants !
Imaginez l’inverse, imaginez l’émoi national si notre ami Damien Rieu allait à l’école pour défendre la fermeture de nos frontières ? En vérité, même si nous sommes convaincus d’avoir raison, nous n’oserions pas. Nous n’oserions pas parce que nous détestons l’endoctrinement des enfants, quelle que soit l’idéologie.
Mais à gauche, on n’a pas de problème à confondre ses activités politiques pro-migrants et son métier. A gauche, on ne sait pas ce que signifie la neutralité de l’enseignement ! A gauche, cela fait 60 ans qu’on se sert de son statut d’enseignant pour endoctriner des élèves. D’ailleurs, le problème, ce n’est pas seulement cette enseignante. Notre critique est beaucoup plus large et nous ne cherchons jamais à nous en prendre aux personnes. Le problème, c’est toute sa hiérarchie qui a validé cette initiative ! C’est l’établissement, c’est le rectorat ! C’est au-dessus du rectorat, c’est le ministre, M.Pap Ndaye !
Alors, nous avons fait notre devoir : alerter l’opinion publique. De nombreux médias et d’autres partis politiques nous ont emboité le pas, pour dénoncer cette scandaleuse affaire. Et j’ai le plaisir de vous dire que cela a fonctionné ! Grâce à l’écho que nous avons donné à cette affaire, la visite de vendredi a été annulée !
Nous avons fait notre devoir et nous irons plus loin : je vous le dis aujourd’hui, Reconquête se réserve le droit de saisir la justice pour atteinte à la neutralité de l'enseignement. Et nous l'envisagerons désormais systématiquement !
On comprend que la gauche soit furieuse et pousse des cris d’orfraie ! Que La France Insoumise exige notre dissolution ! Ben voyons ! J’en ai même entendu un, à l’Assemblée, qui voulait créer une « taxe anti-Zemmour » pour les chaines qui m’invitent ! Ben voyons ! Il faut la comprendre, la gauche. Elle n’a pas l’habitude, la gauche, qu’on ne la laisse pas endoctriner nos enfants en toute tranquillité.
Voilà si longtemps qu’on la laisse faire sa propagande, sans garde-fou, sans riposte ! Si longtemps que la droite se refuse au combat. Ils ont compris qu'avec nous, les choses sont en train de changer. Ils ont compris que Reconquête était le seul mouvement à assumer la lutte avec cette gauche de la déconstruction, cette gauche de la destruction.
Cette gauche qui défend les squatteurs contre les petits propriétaires,
Cette gauche qui se mobilise pour empêcher l'expulsion d'étrangers dangereux,
Qui défile avec des islamistes,
Qui a de la complaisance pour l'antisémitisme,
Qui considère que le racisme anti-blanc n'existe pas – ou même le justifie…
Ne la laissons pas nous donner la moindre leçon de bienséance, encore moins de morale.
Oui, l'éducation nationale est un bastion de la propagande gauchiste et même islamo-gauchiste !
Oui, depuis des décennies, nos enfants la subissent.
Oui, maintenant que nous savons que cela fonctionne, nous sommes bien décidés à ne plus rien laisser passer.
Toutes ces actions ne sont pas isolées mais constituent une véritable méthode. Nous nous battons pour nos idées et nous les traduisons dans le réel pour engranger chaque jour des victoires concrètes. Nous rendons des services tangibles, réels, concrets, visibles. Louons nos réussites, petites ou grandes : c'est en nous habituant à la victoire que nous entrerons dans le cercle vertueux qui redonnera espoir à notre peuple.
C’est tout l’intérêt pour moi d’avoir quitté la vie journalistique : je continue de défendre mes idées mais avec un formidable arsenal à ma disposition : VOUS ! Vous, le parti, notre maillage territorial, notre puissance numérique, nos milliers de militants partout en France !
Alors je vous le demande : continuez !
Continuons d’avoir nos relais et nos vigies partout ! Ne courbons plus la tête ! Ne baissons plus les yeux !
Oui, continuez mes amis, parce que vous agissez plus concrètement que bien des politiciens.
Continuez parce que c’est ainsi que nous construisons nos victoires aux prochaines élections !
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Chaque parti saute sur sa chaise en répétant « on va gagner, on va gagner ». Ils répètent la même chose depuis 15 ans ! Et cela fait 15 ans que nous perdons !
S’il-vous plait mes amis, ne soyons pas comme eux : ne nous contentons pas de nous congratuler en nous disant que nous sommes les meilleurs : travaillons !
Très bien, nous avons le juste diagnostic ! Mais maintenant faisons collectivement l’effort de nous demander comment gagner pour changer le cours de l’Histoire !
Premièrement, sortez-vous de la tête que c’est impossible ! Détruisez en vous ce fatalisme !
Orban faisait 8% en 1994. 4 ans plus tard, il était élu pour gouverner la Hongrie jusqu’à aujourd’hui !
En 2012, le RN n’a eu que 2 députés, quand LR en avait 229, et c’est pourtant le RN qui est arrivé au second tour en 2017 !
Salvini a fait 6% aux européennes de 2014. 5 ans plus tard, il faisait 34% !
Méloni a fait 4% en 2018, 4 ans plus tard, elle gouverne l’Italie.
Il y a des dizaines d’exemples ! Ne soyez pas pessimistes. Les pessimistes sont les meilleurs serviteurs de nos adversaires ! Vos adversaires veulent nous voir ramper : ne leur donnez pas ce plaisir !…
Que tous ceux qui prédisent notre mort se mette bien une chose en tête : nous venons de naitre !
Alors, maintenant nous allons continuer et voici nos axes de bataille mes chers amis :
Notre premier axe : nous allons tenir un discours qui parle à toute la droite dans un pays où 57% des Français se disent de droite.
Et là, je vois les journalistes se dire « oh, il va reparler de l’union des droites ! ». Alors je vais vous le dire tout de suite : l'union des droites, ce n'est pour moi ni une passion, ni une obsession. Ce n’est pas un hobby, ce n’est pas une lubie. C'est un moyen ! Ce n’est pas une fin en soi, c’est un chemin !
Quand tout le monde prétend pouvoir gagner seul, sans même réfléchir aux moyens, moi je réfléchis à la manière d’y arriver.
Et la seule manière d’obtenir plus de 50% des voix, c’est de réunir tous les Français qui défendent l’identité de la France ! C’est ainsi que j’appelle la droite : un homme ou une femme de droite peut avoir une fibre sociale ou libérale, il peut être des métropoles ou de la France périphérique, il peut lire des livres ou aimer les chats, peu m’importe : il est de droite s’il a compris que la question essentielle qui se posait à nous était celle de notre survie ! L’union de la droite, c’est l’union de tous ces Français !
Et si les dirigeants, si les appareils, ne veulent pas la faire, si les LR veulent mourir ou finir supplétifs du centre-gauche, si le RN pense qu’avoir un groupe parlementaire c’est avoir gagné, si les uns comme les autres préfèrent perdre seuls que gagner ensemble, tant pis pour eux.
Mais, nous, nous n’abandonnons pas l’espoir de tous les patriotes qui rêvent de se réunir pour la France : tous mes électeurs, 70% des électeurs de Marine Le Pen, 54% des électeurs des LR veulent cette union !
Oui, nous nous assumons d’être cette force centrale, cette force pivot, qui demain permettra et fera l’union. Je le dis ici solennellement : pour Lola, ou à Toulon, nous aurions dû être côte à côte ! Toute la droite aurait dû être présente. Il fallait que Bruno Retailleau fût là, il fallait que Jordan Bardella fût là ! Pas uniquement pour être plus nombreux, mais pour être plus forts.
Il y a des moments où les calculs partisans, politiciens, électoraux doivent s'effacer. Ce sont des occasions manquées. Il ne faut pas qu'il y en ait trop, car non seulement les électeurs finiront par le reprocher, mais surtout nos enfants nous le reprocheront un jour.
Pour cela, et j'en reviens à mon propos, il faut savoir discerner et dire ce qui est essentiel et sur quoi l'on peut s'entendre.
Notre deuxième axe donc : Mener la bataille culturelle ! Continuer de former et de transmettre. Nous voulons bâtir ! On ne construit rien de solide sur du sable. Cela signifie que nous allons continuer de former nos jeunes, nos élus et nos cadres, comme à l’université d’été, comme en novembre avec nos élus, comme dès demain dans chaque Fédération. Et je remercie Marion Maréchal pour son action au service de notre école des cadres ! Cela signifie que nous allons continuer de ferrailler sur les plateaux télévisés, sur internet, dans les journaux. Que nous allons continuer de réfléchir, de penser, d’analyser avec toute la liberté dont nous sommes capables !
Notre troisième axe, maintenant. Il est essentiel : continuons de nous déployer sur tout le territoire ! Continuons de nous organiser pour gagner ! Je veux pour cela féliciter et remercier Nicolas Bay pour son travail avec nos Fédérations et Guillaume Peltier pour son engagement sur notre implantation pour les prochaines échéances. Je dis aussi un immense merci à chacun de nos représentants dans les Fédérations et à tous nos candidats ! Vous êtes notre première ligne ! Je vous demande à tous, responsables et militants : ne laissez rien passer et agissez concrètement pour défendre nos idées. Profitez de la semaine qui vient pour réunir nos adhérents et pour en faire venir de nouveaux ! Montrez à nos compatriotes à quel point vous êtes utiles. Montrez-leur votre vrai visage, ne subissez pas la caricature !
Vous avez les axes, vous avez le programme. Maintenant, nous pouvons dire à tous ceux qui nous regardent : il faudra compter sur nous à tous les prochains rendez-vous électoraux. Nous serons de toutes les campagnes et même en dehors des campagnes électorales nous serons là !
Et mes chers amis, je peux vous dire une petite chose : ne vous en faites pas pour les sujets d’ordre sur la liste aux élections européennes ! Ce sont des sujets qui passionnent un tout petit milieu médiatique parisien. Entre nous, il est davantage question de travail, de sujets de fond, de construction du parti. Quand l’heure sera venue et que je donnerai ma décision, je peux vous assurer que ce sera fait intelligemment et que chacun sera content, parce que nous défendons tous la même chose ! En attendant, nous avons du pain sur la planche !
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Je vous ai parlé des actions, je vous ai parlé des élections. Mais je vous ai aussi dit que je voulais que nous soyons à la pointe de la réflexion. Nous qui sommes lucides sur le danger qui nous guette, nous avons le devoir de l’expliquer clairement à ceux qui doutent encore. Et il y a un sujet sur lequel tout le monde se met à ouvrir les yeux : c’est celui de la violence dans notre société.
Si François Hollande et Gérard Collomb ont compris, c’est bien que tout le monde doit comprendre. Alors je veux essayer de vous expliquer aujourd’hui clairement le pourquoi de ce que chacun constate : l’explosion de la violence dans notre pays. Et je ne me contenterai pas de répondre « à cause de l’immigration ».
A gauche, on tente péniblement de nous donner trois explications :
- la pauvreté selon le vieux logiciel de l'excuse sociale ;
- les discriminations avec l'idée que c'est notre société qui serait mal faite, que ce serait un peu de notre faute finalement si nos gamins se font racketter à la sortie de l'école ou poignarder dans le métro ;
- et même une dernière excuse : la folie, variante la plus récente, avec les fameux « déséquilibrés » qui sévissent dans nos rues.
Vous vous imaginez bien que mon analyse diffère de ces fariboles auxquelles plus grand monde ne croit... Pour moi il y a 4 moteurs de la violence, 4 moteurs des Francocides, 4 grands mouvements qui expliquent le terrible ensauvagement dont nous sommes les témoins et même trop souvent, les victimes.
Le premier de ces moteurs, c’est l’hétérogénéité ethnique de notre société. Plus une société est hétérogène ethniquement, plus elle est violente et conflictuelle. La sociologie américaine a depuis fort longtemps toute une littérature à ce sujet.
Les sociétés hétérogènes sont criminogènes.
Les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles.
Les sociétés multiraciales tournent très souvent en sociétés multiracistes.
Bien sûr, il existe une délinquance dans des sociétés homogènes, une criminalité endogène : cela va de soi, chaque peuple suscite sa part de salauds, de malfaisants. Mais, ce serait d’abord en soi une assez bonne raison pour ne plus faire venir des criminels d'ailleurs... et surtout, c’est la distance entre le bourreau et la victime qui facilite le passage à l'acte. Parce que la dissemblance permet de déshumaniser.
Pour tenter une image parlante, on est d'autant moins tenté d'agresser une mamie qu'elle ressemble à sa propre grand-mère ! Je vais vous poser une question simple : pensez-vous que la pauvre vieille dame de Cannes, qui a été rouée de coups, aurait été ainsi jetée au sol par ses agresseurs si elle avait porté un voile ? Poser la question, c’est y répondre.
Le deuxième facteur est démographique. Un excès de jeunesse masculine et donc un excès de testostérone va toujours trouver à s'exprimer, et l'histoire a démontré à quel point cette expression pouvait être violente... C'est un sociologue et économiste suédois, Gunnar Heinsohn, qui a démontré à travers la création d'un indice prédictif des futures violences que la poussée démographique des jeunes hommes dans une société conduit inéluctablement à des conflits.
Dans l’histoire ce fut le cas dans la France de la Révolution, dans l’Allemagne des deux guerres mondiales, mais aussi dans le Rwanda du génocide, le Kosovo, l’Algérie ou le Liban. Aujourd’hui, à l’échelle de la France, le département le plus jeune et le plus fécond est la Seine-Saint-Denis. A l’échelle du monde, le continent le plus jeune et le plus fécond est l’Afrique. Je n’ai pas besoin de vous faire un dessein, vous avez compris.
Si encore on n’avait que l’hétérogénéité et l’âge, on aurait déjà des sociétés extrêmement violentes… Comme à Chicago, comme dans les ghettos américains, comme en Amérique latine. Mais en France, on a décidé de mettre toutes les chances de notre côté… Et j'en viens aux deux derniers moteurs, les grands mouvements, d'ordre historique et civilisationnel.
Le troisième facteur de cette explosion de la violence sur notre territoire, c’est l’attitude revancharde de ceux que nous accueillons. Pare qu’ils sont très souvent issus d'anciennes colonies où le ressentiment colonial reste extrêmement fort – pensez une seconde à l'hymne algérien qui proclame : « Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes ». Pensez que certains irresponsables s’amusent même à raviver ce ressentiment sur notre propre territoire, en déclarant par exemple que la France a commis un crime contre l’humanité en Algérie… Par idéologie, ils nourrissent et renforcent une haine de notre pays qui trouve parfois des débouchés dramatiques.
Et prenez maintenant le dernier grand facteur : l'affrontement millénaire entre le monde chrétien et le monde musulman. Dans cette relation, l'apaisement n'est que l'exception, momentanée, signe en réalité d'un affaiblissement de l'un ou de l'autre, et le conflit est la règle. Cette histoire est faite de flux et de reflux, d'offensives et de contre-attaque, de djihad et de croisades, de conquêtes et de reconquêtes.
Imaginez, nous avons de l’autre côté de la Méditerrannée le continent le plus jeune du monde, l’Afrique, dont près de la moitié des habitants rêve de venir s’installer en Europe. Le plus souvent, il s’agit de jeunes hommes de religion musulmane dans des pays anciennement colonisés. Tous les facteurs sont réunis !
Quand on sait que ces 4 facteurs cumulés sont le cocktail de violence le plus explosif du monde, comment peut-on continuer d’ouvrir nos portes ?
Est-ce bien raisonnable de continuer d’accueillir légalement chaque année l’équivalent de la ville de Bordeaux sur notre territoire ? Je ne parle même pas des clandestins qui pourraient remplir mille Océan Viking tous les ans !
Rendez-vous compte : nous accueillons sur notre territoire des populations qui remplissent 4 des 4 critères de l’explosion de la violence ! Si on ne disait que cela à nos compatriotes, cela devrait suffire à mettre tout le monde d’accord sur l’objectif de l’immigration zéro !
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Mais la France d’Emmanuel Macron ne se contente pas d’accueillir le tiers-monde ! Elle veut également devenir le tiers-monde !
On en a entendu qui voulaient dissocier régalien et quotidien. Comme si vous ne viviez pas au quotidien les effets de nos échecs régaliens.
Voilà que dans la France de Macron, nous allons connaitre les coupures d’électricité ! Voilà que dans la start-up nation certains ne se chauffent déjà plus chez eux ! Voilà que sous le règne du Mozart de l’économie, nos familles comme nos entreprises voient leurs factures de gaz et d’électricité exploser !
Dans la France d’Emmanuel Macron, on donne un milliard d'euros à l'Afrique, avec un complexe de supériorité stupéfiant, et EN MEME TEMPS, on ferme des écoles parce qu'on n'a plus d'électricité et plus les moyens de chauffer les classes de nos enfants. En juin, le même Macron nous assurait « il n’y aura pas de coupures ! ».
Ils financent le grand remplacement, ils oublient le grand déclassement. Où sont-ils quand il s’agit d’aider les nôtres ?
Une seule chose fonctionne dans notre pays : c’est le service des impôts ! Ah, ça, rassurez-vous ! On ne sait pas ce qu’ils en font, on ne sait pas pourquoi on paye chaque année plus cher un service public chaque jour plus médiocre ! Mais on peut être sûr que l’argent rentre !
Mes chers amis, nous prennent-ils encore pour des nostalgiques lorsque nous nous demandons : où est la France de notre enfance ? Même les moins de 20 ans dans cette salle se souviennent que nous étions un pays riche, puissant, censé avoir le meilleur système de santé du monde ! Où est la grande puissance que nous étions ? Qu’ont-ils fait de notre pays ? Y a-t-il une fatalité à voir tout ce qui faisait notre grandeur se disloquer ? Notre école dont le niveau chute inexorablement, notre hôpital où il n’y a plus de lits, notre armée qui n’a que trois jours de munition en cas de guerre, notre industrie nucléaire saccagé par des années de mauvais choix, nous qui étions le Qatar de l’électricité !
Il n’y a pas de fatalité ! Ce que les politiciens ont défait, nous pouvons le refaire !
Je vous le dis mes amis : LA RECONQUÊTE NE FAIT QUE COMMENCER !
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Mes chers amis, il y a un an nous avons fait un serment. Le 5 décembre 2021, les Pionniers étaient à mes côtés. Nous avons fait le serment de Villepinte.
Il y a un an nous nous sommes dit : nous dirons et nous ferons. Nous promettrons et nous tiendrons.
Et, depuis, tant d'autres se sont joints à nous, tant d'autres ont uni leur espérance à la nôtre. Des milliers, des dizaines de milliers. Et il y en a encore tant d'autres qui rejoindront cette marche.
Au moment même où je vous parle, je sais que de nouveaux adhérents franchissent le pas. A tous : bienvenue dans ce combat pour la France éternelle, celle d'hier, d'aujourd'hui, et surtout celle de demain !
Oui, nous étions là et nous serons toujours là, car nous sommes la droite du courage dans les convictions et dans l'action.
Oui avec nous, engagez le combat sur tous les fronts : la réflexion et la formation, l'action, l'implantation et les élections !
Idées, actions, élections : nous sommes les seuls à assumer ce triple engagement.
Mes chers amis, nous avons réuni 130 000 Français pour notre première année d’existence. Je veux que non seulement chacun réaffirme son engagement, mais que nous allions convaincre d’autres compatriotes de nous rejoindre !
Adhérer à Reconquête, ce n’est pas regarder passer les trains et devoir distribuer des tracts quelques jours avant les élections !
Adhérer à Reconquête, ce n’est pas coller quelques affiches du chef tous les cinq ans et suivre ses éléments de langage à la télévision !
Adhérer à Reconquête, c’est réfléchir, c’est agir, c’est se former, c’est être utile TOUS LES JOURS. C’est rendre service à la société TOUS LES JOURS. C’est s’engager personnellement et concrètement pour la France TOUS LES JOURS.
Adhérer à Reconquête c’est faire partie de la grande famille française, c’est envoyer un message fort à tous ceux qui ont juré la mort de la France !
Alors avec nous construisez ce parti !
Avec nous participez à écrire la suite !
Avec nous battez-vous pour l'avenir de ce pays, pour l'avenir de nos enfants : adhérez et faites adhérer autour de vous.
Français, je vous le redis : je veux de l’enthousiasme, je veux des chants, je veux de la fierté, je veux de la joie. Soyez FORTS ! Soyez JOYEUX ! Soyez HEUREUX !
Refusons ensemble la mélancolie qui désespère !
Surmontons ensemble nos colères et nos doutes !
Tenons-nous droit face à tous ceux qui veulent nous voir disparaître, face à tous ceux qui ont juré notre perte !
Une tâche magnifique et colossale nous attend !
Nous devons nous mobiliser chaque fois que la France en a besoin.
Si nous ne le faisons pas, qui le fera ?
Qui s’est levé pour dire NON à la répartition des migrants et à la submersion migratoire, à Toulon, parce que c’est à Toulon qu’il fallait le dire ? C’est nous !
Qui sont les premiers à avoir dénoncé l’offensive islamique à l’école ? C’est nous !
En Vendée, qui était là pour combattre les déboulonneurs de statues ? C’est nous !
Place Samuel Paty, qui était là pour défendre la mémoire de cet enseignant décapité ? C’est nous !
Deux mois après, qui sont ceux qui n’ont pas oublié le martyr de Lola ? C’est nous !
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Vive la Reconquête,
Vive l’énergie inébranlable de nos militants,
Vive la protection de nos sœurs et de nos mères,
Vive tout ce que nous créons, vive ceux que nous aimons,
Vive la République, et surtout, surtout...VIVE LA FRANCE !